Voyage en France de 2010

29 novembre

Le marathon du Louvre ou le règne du zizi

Cette discipline (en voie d’être homologuée par le Comité International Olympique) consiste à parcourir le plus rapidement possible le musée du Louvre, dans le but de voir un maximum d’œuvres classiques (de préférence figurant dans un certain «top-10» indiqués dans un dépliant au format peu pratique distribué aux visiteurs) disséminées tout partout dans le plus grand musée du monde. La tâche est ardue car les œuvres du «top-10» sont disséminées ça et là plutôt que groupées dans un coin, ce qui faciliterait la tâche des touristes, et dégagerait le reste du musée pour le bénéfice des amateurs sérieux.



L’ascenseur-piston

Nous partons donc de bon matin, histoire d’être à pied d’œuvre rapidement. Nous arrivons par le côté du Palais Royal, et sommes rapidement en ligne (qui n’a que quelques dizaines de personnes) au pied de la pyramide.
    Après le détecteur de métal, nous descendons le majestueux escalier en colimaçon qui se love autour du bizzare ascenseur-piston, qui démontre sans équivoque qu’en France, y’a rien comme le piston.
    Je suis à mon endroit favori au monde. Sous la pyramide du Louvre, au niveau souterrain. (Mon second endroit favori est le Mont St-Michel, le troisième Harrington Harbor et le quatrième, curieusement, est l’enfilade d’écluses de Entrance Valley, à Ottawa). Je prend un moment pour déguster le moment au milieu du chef-d’œuvre incontestable de 貝聿銘, tout en attendant (5 minutes) pour acheter les billets. Je laisse ’Dwin décider de la direction des opérations, car il a tellement la hantise de louper quoi que ce soit qu’il est impossible de lui faire entendre raison. Le reste des photos témoignera de l’incohérence de la journée, et les commentaires oscilleront entre le délire et la raison la plus abjectement crasse et cynique (sans que vous puissiez aisément distinguer l’une de l’autre. Mouhahahahaha!!!!).



Tous dans le bain!

’Dwin commence donc par prendre un bain de culture (à défaut de bouillon, un bain suffira).



Le règne du zizi

Nous entrons dans le règne du zizi, car de nonbreuses œuvres ont été réalisées avant que la chrétienneté ne dissémine leur pourriture abjecte de l’esprit, dont la base est la négation même de la nature humaine de l’Homme, en lui inculquant non seulement une honte de sa personne, mais également une honte pour son esprit par la notion du péché originel, le tout dans le but de contrôler la population et en faire un troupeau docile qui suivra sans questions les désirs de son monarque.
    Il y a 5000 ans, un groupe de vieux rabbins conclurent qu’avec leurs vieux corps dépéris, ils n’auront aucune chance de s’enticher de jeunes filles, plus attirées par les corps des jeunes hommes. Ils ont alors décrété que tous devront dorénavant se draper d’oripeaux destinés à cacher l’apparence de leur corps, dans l’espoir que les jeunes filles ne soient plus rebutées par leur aspect.



’Dwin et Zeus

’Dwin est tout heureux de s’accoter à Zeus; je lui fait remarquer qu’on ne doit pas toucher aux œuvres. Mais il est vrai que pour lui, les visites dominicales au Musée n’ont pas fait partie de son éducation…



Pas de cuisse de Jupiter!

Ici, ’Dwin est un peu bougon parce qu’il ne peut pas toucher à la cuisse de Jupiter.



Si j’avais les fesses d’un ange…

Si j’avais les fesses d’un ange, j’partirais pour Québec!
   Oups! Vous venez tout juste de regarder une image de pornographie infantile! Ça y est, la peau-lisse va faire une enquête sur vous, et vous allez être accusé de possession de pornographie infantile car l’image est irrémédiablement stockée dans la cache de votre fureteur! Et si vous êtes américain, vous allez devoir vous inscrire au registe des délinquants sexuels, et vous serez pestiféré parce que des zélotes voudront vous tirer une balle dans la tête et vous n’aurez plus le droit d’habiter à moins de un kilomètre d’un parc, d’une école ou de tout endroit où des enfants seraient présents. Ça vous apprendra, espèce de perverti!!!!



Ici, une belle galerie, fort élégante

La matinée est sérieusement entamée, et l’affluence augmente; je me fais une raison : inutile de tenter de photographier les œuvres; ça donnerai quoi? Ça n’intéresserait pas grand-monde, et elles ont déjà été photographiées ad nauseam et par de bien meilleurs photographes que moi. Je décide donc à présent de prendre en photo l’ambiance générale et le musée lui-même.



Niké

La statue de Niké (plus connue sous le vocable de « Victoire de Samothrace ») est magnifiquement présentée au sommet d’un escalier, sous un ensemble de voûtes très sobres dont l’effet général est très agréable, malgré les foultitudes coadmirationales.



Niké

Tiens, c’est curieux, mais Niké n’est pas toute nue… Ça mitraille, tire et photographie de tous côtés. J’estimerai qu’au moins 20% des photons rebondissant sur la statue terminent leur existence contre un électron d’un senseur d’une caméra digitale…



La leçon in-situ

Un groupe d’écolier reçoit une leçon d’histoire de l’art in-situ. Ici, ils se font discourir sur l’influence des marchands d’auréoles auprès des sergents-fourriers du paradis.



La Grande Galerie

Le grand dessein de Marie-Antoinette (paix à son cou) est finalement rempli de grands dessins.



La chaise-roulante de Zeus

’Dwin est fasciné par la chaise-roulante de zeus. Moi, je suis fasciné par son insistance à tout photographier.



La photo en question

La photo en question, que j’ai du recadrer parce que ’Dwin n’entend rien à la règle des tiers…



Diane chasseresse

Mais quand l’opportunité de présente, je prend quand-même une œuvre en photo. Ici, Artémis et son petit cerf. Et c’est pas jojo de bien photographier un bronze, car l’exposition est plutôt difficile à calculer!!!



Mona Lisa

Puis c’est le délire. Loufoque, dantesque, incommensurable. Bien sûr que la Joconde figure dans le « top-10 » du Louvre!!! Alors il faut s’y précipiter, tout comme la foultitude qui y accourt et s’agglutine dans l’espoir de croquer ce petit tableau dont l’importance est surfaite. (La première fois que je l’ai vue, il y a 25 ans, elle était flanquée de deux zigues munis de mitrailleuses. Ici, on constate que ce n’est plus le cas).
    Cliquez sur la légende, afin de voir un petit bout de film (pas de moi) qui résume à merveille l’impression générale que ’Dwin a eu de ce voyage.



La salle de Mona Lisa

La Joconde est exposée dans une salle assez vaste et bien éclairée, mais ça condamne à l’obscurité les autres tableaux qui y sont accrochés, car les touristes n’ont d’yeux (et d’objectifs) pour Mona Lisa…



 

Ici, ’Dwin insiste pour se faire tirer le portrait à côté d’un tableau dont le bleu très profond est la principale caractéristique.



Statuaire extérieur

’Dwin ne comprend pas que je veuille photographier l’extérieur avec les barreaux de la fenêtre… Moi, je comprend que c’est une composition très intéressante.



Ici, point de barreaux

Mais ici, cette photo remporte l’aval de ’Dwin, car il n’y a pas de barreaux, ni de composition extraordinairement intéressante.



Dénivellé entre deux salles

Parfois, des dénivellés existent entre deux salles; les escaliers obscurcis en rehaussent la luminosité.



Les bécots

Dans les coins sombres, parfois, des amoureux se bécottent.



Escalier monumental

Dans la cour jouxtant le pavillon Lesdiguières, un escalier monumental à double révolution est ignoré du public.



Nous sommes médusés!

À l’instar de la horde de touristes, ’Dwin est médusé par ce tableau célèbre de Géricault.



M’sieur! elle copie!

’Dwin est également surpris que des peintres copient les tableaux du musée… Je lui explique que ça se fait depuis des siècles.



Le sacre de Napoléone Buonaparte

Ici, nous avons le câlisse d’hostie de tabarnak de calvaire de criss de sacrament de Napoléon, qui, impatient de la lenteur de pissette à lui mettre la couronne sur la tête, lui arracha des mains et la câlissa lui-même sur sa tête.



Niké

Les touristes s’agglutinent toujours autant autour de la statue de Niké.



Une enfilade de pièces

Pendant que des touristes chinois s’extasient sur le plafond, en parcourant cette enfilade de pièces, j’en profite pour expliquer à ’Dwin que, jadis, les palais n’avaient pas de couloirs, car tout le monde vivait avec le roy, y compris quand il se couchait, se levait et chiait. Les gens savaient que le roy était «supérieur», parce que c’est dieu lui-même qui l’a voulu, et y’avait pas de discussion (grâce aux curés qui gardaient le troupeau de moutons bien dociles). Les serviteurs allaient et venaient parmi les nobles, sans que personne ne pense une seconde qu’ils fussent leurs égaux… Mais à la Révolution, où il fut clairement établi que tous les hommes naissent égaux, les riches ont tenté de se démarquer de leurs serviteurs en les cantonnant dans des couloirs où ils n’auraient plus à côtoyer leurs maîtres, et ainsi penser qu’ils soient aussi bons qu’eux.



La salle Apollon

La salle Apollon est très richement lambrissée.



Boîte à priser

De tout temps, les riches ont toujours voulu petter plus haut que le trou en se dotant d’objets ornés tout aussi précieusement qu’inutilement, tel que cette boîte à priser ornée de diamants, simplement dans le but d’impressionner les autres. ’Dwin ne manque pas de tomber dans le panneau.



Charlies Lebrun

Parmis les lambris, on trouve ce croquis de Charlie Brownie, qui s’illustrit par les allégories qu’il fit pour Louis xIv.



Enfilade

Un groupe de touristes émergent, médusés, d’une enfilade, ce qui prouve que le concours à Géricault n’est point requis pour être médusé.



Athlete Hellène

Je me souviens de cette statue qui figurait dans mes manuels scolaires.



Encore du zizi!!!

Décidément, le règne du zizi se poursuit! Ce qu’ils devaient être bien, les grecs, sans ces maudits curés de merde pour faire chier à longueur de journée…


Ici, ’Dwin s’estasie sur les lambris qui ont enrichi l’ici



Espagnolette

Une autre vue extérieure depuis l’intérieur, avec, cette fois-ci, une espagnolette.



’Dwin et un sarcophage

’Dwin ne manque pas de photographier assidument tout ce qui se trouve sur son passage…



Enfilade

Ici, c’est sur un plafond que ’Dwin jette son dévolu, ignorant l’enfilade adjacente.



Égypterie

Et ici, avec une certaine égypterie.



Escalier

Ici, point de second degré; les seuls degrés sont ceux que ’Dwin est en train de gravir.



St-Germain l’Auxerrois

L’église de St-Germain l’Auxerrois, vue de l’étage du Louvre. Ce sont ses cloches qui ont marqué le coup d’envoi du massacre de la St-Barthélémy, prouvant encore une fois que la chrétinneté est la pire chose qui ait affligé l’Humanité.



Colonnade et rue du Louvre

La colonnade masque imparfaitement la rue du Louvre, qui court au dehors.



Plafond

Pour une fois, je me laisse tenter par un plafond.



Portail de la nouvelle section

Nous arrivons dans la nouvelle section du Louvre, qui était jadis occupée par le sinistère des finance. Cette occupation avait été dévastatrice; des étages et entresols furent ajouté, ce qui massacra complètement cette partie de l’édifice. En conséquence, cette partie a été refait à neuf lors de la rénovation du Louvre.



Une nouvelle salle

Les nouvelles salles sont sobres, discrètes, et mettent bien en valeur les œuvres exposées.



Scribe accroupi

Un autre du «top-10», le scribe accroupi. Tiens, tiens, tiens; serait-ce en Egypte que les juifs aient acquis leur peur du zizi???



Famille égyptienne



L’oratoire du Louvre

De temps à autre, un jette un œil à l’extérieur, histoire de s’arrurer que Paris est toujours Paris. Ici, le temple protestant de l’oratoire du Louvre; il est amusant de constater que les arcades de la rue Rivoli continuent…



Une autre nouvelle salle

Encore une de ces nouvelles salles, absolument magnifiques dans leur simplicité, qui mettent si bien en valeur les œuvres.



Nouvelle salle

Toujours magnifiques, ces salles.



Cour du Louvre

Et si on jette un œil côté cour, on a… la cour du Louvre, sous laquelle les fondations du vieux Louvre médiéval ont été déterrées.



Encore une espagnolette!

Et ici, toujours la même cour et le pavillon de l’Horloge, mais avec une espagnolette cette fois-ci.



Nouvelle enfilade

Même les nouvelles salles offrent des enfilades. Moins évidentes, certes, mais mnéamnoins présentes.



Anges ingénieurs

Ici, on a une lamentable tentative de convaincre le public que les ingénieurs sont des anges. Il va de soi que ça ne marche absolument pas!



Les deux gardiens

La posture des deux gardiens, à côté de ’Dwin qui photographie, donne un air surréaliste à cette photo…



Enfilade de tableaux

Encore une enfilade, mais de tableaux, cette fois-ci.



La rue Rivoli

À l’extérieur, la rue Rivoli longe toujours le Louvre.



Cour Marly

La cour Marly, recouverte, offre maintenant des sculptures pour le plaisir des visiteurs.



La pyramide

Mais avant de descendre, je prends la pyramide dont le verre, spécialement conçu, est remarquablement transparent.



Cour Marly

La couverture de la cour Marly par une serre offre, à peu de frais, un très bel espace d’exposition.



Cour Marly

Les différents niveaux rendent l’espace plus ludique.



Gros minou

Ici, le gros petit minou a l’air d’être fâché contre le serpent…



Nous deux

’Dwin a insisté pour nous prendre en photo ensemble. S’il a l’air de faire la gueule, c’est qu’il ne sourit pas « parce que ça lui fait des rides »…



Hercule combattant Achéloüs

Hercule qui a une prise de bec avec Achéloüs qui s’est, pour l’occasion, transformé en serpent. On comprend ainsi pourquoi les spaghetti n’ont pas immédiatement conquis la péninsule héllénique.



Écoliers et deux zizis

Des écoliers côtoient deux zizis sans férir le moindre coup. Aux Tas-Unis, l’organisateur d’une telle exposition serait immédiatement embastillé, et les enfants seraient pris en charge par un thérapeute, car l’esprit américain est ainsi fait que si des enfants sont exposés à de la nudité, ils seront marqués psychologiquement.



On regarde en l’air

Les visiteurs, tout comme les statues, regardent en l’air.



Un endroit agréable

Non, sérieusement, la cour Marly est un endroit bien agréable. Les statues doivent s’y plaire. Mais nous ne pouvons pas nous éterniser, il reste tant d’autres trucs à voir.



Un des escaliers

Alors nous gravissons cet escalier pour se rendre à un endroit commémorant un des plus sombres épisodes de l’Histoire de France.



Un lustre

Les appartements de Napoléon-le-petit, ce « prince-président » qui s’arrogea le pouvoir pour livrer la France pieds et poings liés au grands bourgeois, puis ensuite provoqua la Prusse dans une guerre insensée où la France perdit des plumes, qui sont à l’origine de l’esprit revanchiste qui nous donna la « grande » guerre, qui est à l’origine de tous les boulversements du XXème siècle.



Salon

Ce sombre idiot se vautrait dans ce palais, dérobé à la Nation, et meublé à la sueur du front des ouvriers de France.



Salle à manger

Combien d’arêtes de poisson furent-elle malencontrueusement avalées de travers les vendredis en cet endroit, parce que la pimbêche qu’avait marié ce foutriquet était une bigote patentée??? Mais quittons cet endroit sinistre, et allons voir la partie la plus passionnante du Louvre.



Les douves médiévales

Le vieux Louvre médiéval, dont les douves ont été excavées il y a une vingtaine d’années. Ici, on voit le pilier du pont-levis. L’espace est également utilisé pour exposer des œuvres d’art contemporaines.



Tour d’angle

Une des tours d’angle du vieux Louvre.



Le donjon

Les fondations du donjon circulaire ont, elles aussi, été conservées.



De retour dans le grec

Nous sommes de retour dans le grec.



Oui, du grec

Pourquoi du grec? Parce que ’Dwin a décidé d’aller voir un autre des «top-10» du musée…



La Vénus de Milo

…la Vénus de Milo.



Fesses et quéquette

Dans le grec, le zizi règne. Pendant que ’Dwin photographie les zizis, je photographie les fesses. Comme ça, pas de jaloux, et la distribution du travail, ça fait un meilleur boulot!



La salle

Les salles au rez-de-chaussée ont des voûtes très agréables à regarder.



Chinois et hermaphrodite

Les touristes chinois sont fascinés par Hermaphrodite…



Hermaphrodite

…probablement parce qu’il y a à la fois des tétons et une quéquette.



Cariatides

’Dwin, lui, est fasciné par les cariatides. Il s’impatiente parce que je tarde à prendre la photo, car j’attends qu’il n’y ait personne dans le champ…



Ange-zizi

Maintenant que la question du sexe des anges est résolue, passons au sujet suivant!



Babylone

De la Grèce, nous passons ensuite en mésopotamie, celle d’avant que les anglais n’y foutent le bordel (quand ils ont partitionné le Kowaït de l’Irak en 1960).



Le code d’Hammourabi

Le code d’Hammourabi est le plus ancien texte légal nous ayant parvenu.



Lion babylonien

Un lion fait en briques



Bas-relief et la ville

On a certaines perspectives parfois étranges… Un bas-relief mésopotamien et la rue de Rivoli juste à côté, par la fenêtre…



Ce téton est bien ferme

N’oublions pas les grands classiques non-plus. ’Dwin tenait tellement à voir ce tableau…



Le soir tombe peu à peu…

À l’extérieur, le jour commence à mourir… Le musée fermera bientôt



Une autre enfilade

Les nouvelles salles ont des enfilades très élégantes



Salle art-déco

Celle-là est la plus belle de toutes, on dirait quasiment de l’art-déco…



Salle art-déco

Une autre salle absolument superbe



Salle plus classique

Cette salle, par-contre, est plus classique…



Le soir tombe

Décidément, dehors, il fait de plus en plus sombre… Et bien ça y est, on commence à annoncer la fermeture. Alors on commence à s’en aller vers la sortie…



Egypteries

Sauf qu’elle est loin la sortie… Alors on marche, on marche, on marche dans des salles presques vides… Et on tombe sur le rayon des égypteries…



Tombeau en granite

On descend des escaliers… On tombe sur ce tombeau en granite qui n’a pas du être une sinécure à déménager ici…



Égypteries

On passe par des enfilades de voûtes, à l’effet plutôt agréable



Truc énorme

Et on tombe sur ce truc absolument énorme



Par ici la sortie!

Puis on tombe sur la sortie.



Sous la pyramide

Et nous arrivons sous la pyramide.



Sous la pyramide

La pyramide, d’en-dedans



Le pavillon de l’Horloge

La pyramide est faite d’un verre spécial, particulièrement transparent; de nuit, on voit très bien au travers.



Vue de l’extérieur

Une vue d’ensemble de la pyramide. Et voilà, c’est tout pour aujourd’hui. Après ça, on a erré un peu, puis on est monté par hasard dans un autobus allant vers la gare St-Lazare. En suivant le même raisonnement qu’à la gare du Nord, on y dénichera un restaurant potable.

Mais en passant à côté de l’Opéra, ’Dwin est tout étonné par l’édifice. Comme il ne figure pas dans son guide « Top-10 » de Paris, il ignore tout de son existence… Puis on arrive à St-Lazare, mais là, pas de restaurants. Alors on prend le RER-E (je suis bien content de ce subterfuge involontaire, parce que je voulais le voir, mais ne pouvais pas justifier de le prendre autrement) jusqu’à la gare du Nord, où on n’a que l’embarras du choix…


Passons à la journée suivante.



Fin de la page.